Jean-Paul DuBois

Paul ha hecho algo irreparable: ha matado a su padre. Solo que, cuando se decidió a perpetrar el acto, Thomas Lanski ya había muerto..., de muerte natural. Hará falta nada más y nada menos que un año de terapia obligatoria para desentrañar las circunstancias que condujeron a Paul a cometer este parricidio del que no es el verdadero autor.El origen de las lagrimas es el relato que Paul confia a su psiquiatra: la historia de un hombre herido que profesa un odio obsesivo a su progenitor por haber hecho sufrir a su esposa y a su hijo durante toda la vida. El aprendizaje de la venganza, en cierto modo.Con una mezcla de humor y de melancolia, esta novela puede leerse como una comedia negra o como un drama burlesco. O las dos cosas a la vez.

Paul Hasselbank vient d''apprendre qu''il est gravement malade. Son désir ultime: revoir une dernière fois Anna, la femme de sa vie, partie vivre au Canada. Sur les traces de son amour perdu, il croi

Paul Stern part pour Hollywood afin de réécrire le scénario d'un film français pour un producteur qui affirme vouloir en réaliser un remake. Il espère ainsi oublier la dépression d'Anna, son épouse,

Paul a commis l’irréparable : il a tué son père. Seulement voilà : quand il s’est décidé à passer à l’acte, Thomas Lanski était déjà mort… de mort naturelle. Il ne faudra rien de moins qu’une obligat

Paul Katrakilis vit à Miami depuis quelques années. Jamais il n’a connu un tel bonheur. Pourtant, il se sent toujours inadapté au monde. Même la cesta punta, ce sport dont la beauté le transporte et

Paul Sneijder est l'unique survivant d'un accident d'ascenseur. Sa fille y a perdu la vie. Depuis ce jour, sa perception de la réalité s'est affinée, comme si quelqu'un avait monté le son du vacarme du monde. Comment continuer a vivre, avec une epouse tyrannique qui rapporte un poulet roti les jours ou elle voit son amant ? En changeant de metier : promener des chiens, voila une activite attrayante.

Porté par la beauté des paysages glacés du Grand Nord canadien, ce roman étincelant nous conduit jusqu'á cette part animale qui g®t au fond de chacun d'entre nous, faisant de l'un une proie et de l'a

Le grand talent de Jean-Paul Dubois parvenir á nous faire rire mªme avec un sujet dramatique, ici, le suicide de la femme de Paul, certes, Paul va mal et s'emmure, mais mªme au milieu du silence et d

Aprés une incursion dans le polar et dans le genre de l'essai, Jean-Paul Dubois donne vie pour la premiére fois á Paul, personnage récurrent de ses romans, si empli d'humanité qu'on en aime chacune d

Eh bien moi, vous me verrez tous les jours de la semaine. Vous plaisantez, monsieur Tanner. En tout cas, il faut qu'on se mette d'accord : qui est-ce qui va commander ? "Paul Tanner, documentariste animalier, menait une existence paisible avant d'heriter de la maison familiale. Decide a la restaurer de fond en comble, il entreprend des travaux. Tandis qu'il s'echine sur les sols, les corps de metier defilent. Maçons dements, couvreurs delinquants, electriciens fous... tous semblent s'etre donne le mot pour lui rendre la vie impossible.Recit veridique d'un chantier, chronique d'un douloureux combat, galerie de portraits terriblement humains, Vous plaisantez, monsieur Tanner se lit comme une comedie. Une comedie menee par un narrateur qui ressemble fort a son auteur.

Paul Tanner, documentariste animalier, menait une existence paisible avant d'hériter de la maison de son oncle. Décidé à la restaurer de fond en comble, il entreprend des travaux. Tous les corps de m

Cela fait deux ans que Paul Hansen purge sa peine dans la prison provinciale de Montréal. Il y partage une cellule avec Horton, un Hells Angel incarcéré pour meurtre. Retour en arrière : Hansen est s

Jean-Paul Dubois nous dépeint l'Amérique des années 1990 á travers ses expéditions rocambolesques et ses découvertes surprenantes.

Le célébre romancier livre sa vision de l'Amérique á la fin du xxe siécle, entre pépites amusantes et présages inquiétants.

Avant d''hériter de la maison familiale, Paul Tanner menait une existence paisible. Mais depuis qu''il a décidé de la restaurer, rien ne va plus! Maçons déments, couvreurs délinquants, électriciens fous, tous semblent s''etre donne le mot pour lui rendre la vie impossible. Chronique d''un douloureux combat, galerie de portraits terriblement humains : le recit veridique d''un chantier infernal, colore d''une bonne dose d''humour...noir !

Kontakizun bizkor umoretsu honetan gertatzen dena gutako edonori gertatu zaigu noizbait. Paul Tanner-ek bizitza lasaia darama telebistarako dokumentalak egiten. Halako batean, ordea, oinordetzan etxe zahar bat egokitu zaio. Orduan hartu du bere bizitzako erabakirik zorigaiztokoena: bere etxea saldu eta oinordetzakoa eraberritzen hasiko da. Eraberritze lanak hasterako infernu txikia bihurtu zaio bizitza. Hasi eta bi astera, hasi zenean baino okerrago dago. Infernuaren ahoa zabalduz joan zaio. Han hasi zaizkio banan-banan pasatzen gremioetako langile guztiak: Igeltsero pitzatuak, sabaigile gaizkileak, argiketari zoroak Ematen du elkar hartu dutela denok Tanner jaunari bizitza hondatzeko. Izan ere, ez dago gauza izugarriagorik, etxea eraberritzen hasi, han lanean ari zaizun langileari zerbait eskatu eta harridura aurpegia jarrita Txantxetan ari zara, jauna? erantzuten dizutean baino. Langile batek esaten badizu hormaren kontra joko duzula, ondo daki zer ari den esaten. Nik ez nuen, ordea, ezer entzun nahi, ez nuen ezer jakin nahi aurrean nuen hondamendiaz, ez eta dagoeneko zelatan neuzkan filibusteroez ere. J-P. D.

Lo que narra este relato humorístico de pulso trepidante es algo que nos ha ocurrido a todos alguna vez. Paul Tanner vive una existencia tranquila, dedicado a la elaboración de documentales para la television. Pero, un infausto dia, recibe en herencia un viejo caseron. En ese momento, adopta la decision mas infortunada de su vida: vende su casa y emprende la renovacion de la heredada. Apenas iniciados los trabajos de rehabilitacion, su vida se convierte en un pequeño infierno. Al cabo de dos semanas, la casa esta peor que cuando comenzaron las obras. Las fauces del infierno se han abierto ante el. Desfilan, uno por uno, todos los gremios: albañiles chalados, techadores delincuentes, electricistas locos Se diria que todos se han confabulado para arruinarle la vida al señor Tanner. En efecto, no existe instante mas temible que aquel en que, en plena obra de rehabilitacion de una casa, a uno se le ocurre pedir algo a un obrero que esta trabajando en esa obra y este, con cara de extrañeza, responde: ¿Esta de broma, señor Tanner?. Cuando un albañil os dice que os vais a estampar contra un muro, habla con conocimiento de causa. Pero yo no queria escuchar nada, no queria saber nada del naufragio que me esperaba ni de los filibusteros que ya estaban acechandome. J-P. D.