JEAN D ORMESSON

El escenario es las Tullerías; la época, el invierno de 1803-1804. Jean d´Ormesson imagina una conversación entre Napoleón y su segundo cónsul y hombre de plena confianza, Jean- Jacques Régis de Camb

Nous ne savons ni pourquoi nous sommes nés ni ce que nous devenons après la mort. Nous sommes tous des égarés. C’est à la question : «Qu’est-ce que je fais là?» que s’efforce de répondre ce manuel

Jean d’Ormesson crée un moment de pur bonheur en soulevant des questions existentielles, avec une écriture alerte, d’une fluidité incomparable. Quatre amis – Edgar, psychiatre ; André, grand patron

En complément à son précédent roman«C'est une chose étrange à la fin que le monde», J. d'Ormesson propose une réflexion sur le monde autour de trois axes : la société, l'amour et l'univers. Il juxtap

Pour se défendre dans un procès qu’il s’intente à lui-même, l’auteur fait défiler au galop un passé évanoui. Il va de l’âge d’or d’un classicisme qui règne sur l’Europe à l’effondrement de ce «monde

Les hommes qui commencent à savoir d''où ils viennent mais qui ne savent pas et ne sauront jamais où ils vont, passent sur cette terre quelques dizaines d''années à peine. Que font-ils de ce temps qu

Dieu, les affaires et nous témoigne du regard que l''écrivain porte sur notre temps. Le siècle vu par Jean d''Ormesson est un roman. Il est démocrate, il est libéral : cet écrivain n''a jamais cess

Comme on lui demandait un jour s’il n’avait pas été tenté de varier son style, Jean d’Ormesson répondit qu’il était au contraire heureux d’avoir pu rester identique à lui-même. «C’est pour cela, préc

Un soir de l'hiver 1803-1804, aux Tuileries. Une conversation imaginaire entre Bonaparte et son deuxième consul, Jean-Jacques Régis de Cambacérès, celui à qui il ne cache rien et demande tout. Au comble de la tension entre l'esprit révolutionnaire et l'avidité de puissance, le vainqueur d'Arcole tente de rallier son complice à ses convictions. Une seule volonté anime le héros républicain : bâtir sa légende de son vivant. L'empire, va-t-il démontrer avec éloquence, c'est la république qui monte sur le trône. Jean d'Ormesson saisit l'ambition au moment où elle se change en histoire, le rêve sur le point de devenir réalité.

«Qu''ai-je donc fait ? J''ai aimé l''eau, la lumière, le soleil, les matins d''été, les ports, la douceur du soir dans les collines et une foule de détails sans le moindre intérêt comme cet olivier t

Fait des proses et des poèmes que je connais - ou connaissais - par coeur, ce livre n''aspire à rien d''autre qu''à donner un peu de plaisir, et peut-être d''émotion, à ceux qui le liront.Voilà des m

Il n’y a qu’un seul roman – et nous en sommes à la fois les auteurs et les personnages : l’Histoire. Tout le reste est imitation, copie, fragments épars, balbutiements. C’est l’Histoire que revisite

« Disons d''abord ce que ce livre n''est pas : une anthologie de plus de la poésie – ou de la littérature – française. Ce sont des proses et des poèmes que je connais – ou connaissais – par cœur. Ce