El regreso del hijo pródigo de André Gide se publicó en 1912 (París, Gallimard) junto a cinco textos: El tratado de Narciso o teoría del símbolo (1891), El intento amoroso o el tratado del vano deseo (1893), El Hadj o el tratado del falso profeta (1897), Philoctete o el tratado de las tres morales (teatro) (1898) y Bethsabe (teatro) (1909). Es la historia de un regreso o, mejor dicho, la historia del fracaso de una huida... Dilapidada su fortuna, rotas sus esperanzas, el hijo prodigo vuelve a casa y, arrepentido, se somete definitivamente. Pero en aquel abandono de la casa paterna hay una parte de sueño que se queda. Este sueño, otro, su hermano, sabra utilizarlo para romper definitivamente sus ataduras.
La publicació de La symphonie pastorale, l'any 1919, va representar la consagració literària d'André Gide, un dels autors més importants de la literartura francesa del segle XX, que va rebre el Premi
« - Depuis quelque temps, des pièces de fausse monnaie circulent. J'en suis averti. Je n'ai pas encore réussi à découvrir leur provenance. Mais je sais que le jeune Georges - tout naïvement je veux le croire - est un de ceux qui s'en servent et les mettent en circulation. Ils sont quelques-uns, de l'âge de votre neveu, qui se prêtent à ce honteux trafic. Je ne mets pas en doute qu'on abuse de leur innocence et que ces enfants sans discernement ne jouent le rôle de dupes entre les mains de quelques coupables aînés. »
El rescate de un importante título en la bibiliografía de uno de los más grandes escritres franceses de este siglo. André Gide se sirvió de este mito griego para analizar en profundidad los objetivos ultimos del comportamiento humano e intentar dar respuesta a los grandes interrogantes.
Dans ces pages o¹ se mªlent affection, admiration et pitié respectueuse, l'écrivain revient en trois parties sur ses rencontres avec Oscar Wilde á Paris, á Blida, en Algérie, et á Berneval, prés de D
" L'analyse psychologique a perdu pour moi tout intérêt du jour où je me suis avisé que l'homme éprouve ce qu'il s'imagine éprouver. De là à penser qu'il s'imagine éprouver ce qu'il éprouve. je le vois bien avec mon amour : entre aimer Laura et m'imaginer que je l'aime entre m'imaginer que je l'aime moins, et l'aimer moins, quel dieu verrait la différence ? Dans le domaine des sentiments, le réel ne se distingue pas de l'imaginaire. Et, s'il suffit d'imaginer qu'on aime, pour aimer, ainsi suffit-il de se dire qu'on imagine aimer, quand on aime, pour aussitôt aimer un peu moins, et même pour se détacher un peu de ce qu'on aime - ou pour en détacher quelques cristaux. Mais pour se dire cela ne faut-il pas déjà aimer un peu moins ? " Le dossier est réalisé par Michel Domon.
