DIDIER VAN CAUWELAERT

À deux semaines de la représentation, c’est la panique dans la troupe de théâtre du lycée Jean-Moulin. Le professeur qui assurait les répétitions a démissionné... Sans parler du bac qui approche ! M

Une femme qui se cherche. Un homme qui se perd. Un chien qui les trouve... Un livre qui rend heureux. A trente ans, Alice recouvre la vue. Pour Jules, son chien guide, cest une catastrophe. Et en plus on les separe. Alors, il se raccroche a moi. En moins de vingt-quatre heures, ce labrador en deroute me fait perdre mon emploi, mon logement, tous mes reperes. Il ne me reste plus quune obsession la sienne : retrouver la jeune femme qui nous a brise le cur.Entre une miraculee de la chirurgie et un vendeur de macarons, une histoire de renaissance mutuelle et de passion volcanique orchestree, avec lenergie du desespoir, par le plus roublard des chiens daveugle.

Nous devions tous mourir, sauf lui. Il avait quatorze ans, il était surdoué et il détenait un secret. Moi, on me croyait attardé mental. Mais ce matin-là, David a décidé que je vivrais à sa place. Si

Quels drames et quels enjeux faut-il pour qu'un enfant décide de gagner sa vie comme écrivain, à l'âge où l'on perd ses dents de lait ? En révélant ses rapports avec son père, Didier van Cauwelaert n

Elle m’a sauvé la vie en m’offrant le plus fascinant des destins. J’avais quatorze ans, j’allais être éliminé en tant qu’attardé mental, mais grâce à elle on m’a pris pour un génie précoce. J’étais g

Van Cauwelaert's trademark absurdist-existential angst is evident again in this follow-up to his Prix Goncourtwinning debut, One-Way. American botanist Martin Harris is relieved to return home after a week-long absence, three days of which he spent in a coma in a Paris hospital following a car accident. What a surprise, then, to discover that his wife of 10 years doesn't recognize him and is now living with another man, a botanist named Martin Harris whose knowledge and memories are identical to the narrator's in every detail. When no one from his former life will vouch for him, Martin starts entertaining unlikely conspiracy theories (adultery, corporate espionage) that are just credible enough to add some real spice to the mystery of his predicament. Feistily questioning his most basic assumptionsWhere is memory stored? How authentic are the stories we tell about ourselves? How much of what we cherish about life is based on nostalgia and repetition?he quickly finds that he "had to stop existing in order to start living." What has been a spirited exploration of identity and memory abruptly turns into a somewhat flimsy thriller in its final pages, but Martin's mighty struggle with self-doubt, paranoia and the disorienting freedom of losing his place in the world makes the ride well worth it.

Aziz est né en France, de parents inconnus. Recueilli par les Tsiganes des quartiers nord de Marseille, il a grandi sous la nationalité marocaine, n'ayant pas les moyens de s'offrir un faux passeport français. Professionnellement, il s'est spécialisé dans les autoradios : il les vole et les revend. Sa vie bascule le jour où le gouvernement décide une grande opération médiatique de retour au pays. Le voilà confié à un jeune et idéaliste « attaché humanitaire », chargé d'aller le « réinsérer dans ses racines », et qui lui demande où se trouve son lieu de naissance. Le doigt d'Aziz montre au hasard, sur la carte du Maroc, une zone vierge du Haut-Atlas. Et l'aventure commence… Avec ce voyage initiatique, cette histoire d'amitié imprévisible entre deux êtres qui n'auraient jamais dû se rencontrer, Didier van Cauwelaert nous donne un roman drôle et poignant, qui a obtenu le prix Goncourt en 1994.

« Je suis mort à sept heures du matin. Il est huit heures vingt-huit sur l'écran du radio-réveil, et personne ne s'en est encore rendu compte. » Ainsi commence l'aventure de Jacques Lormeau, trente-quatre ans, quincaillier à Aix-les-Bains. Comment parviendra-t-il à se faire entendre, à se glisser dans les pensées de la femme qu'il aime, dans les rêves de son fils ? Comment échappera-t-il à ceux qui le retiennent avec leurs mesquineries, leurs rancunes, leurs fantasmes ? Sur quoi débouche la mort ? Le romancier d' Un aller simple , prix Goncourt 1994, nous entraîne, au fil d'un suspense mêlant l'humour et l'émotion, dans le fascinant voyage qui - peut-être - nous attend tous

Aziz es un joven francés huérfano de padres desde muy niño tras un accidente de tráfico, criado por los gitanos en el extrarradio de Marsella. Adoptado por la tribu, pasa allí sin demasiados agobios su existencia subsistiendo a base de hurtos y delitos de poca monta como marroqui provisional con permiso de residencia, lo maximo que ha querido pagar por unos papeles falsos. Detenido en una redada, se ve sometido a una orden de repatriacion. Se inicia entonces una divertida peripecia con el desnortado" agregado humanitario" encargado de reinsertarlo en su" pais de origen" . A traves de Marruecos y del Atlas africano se ira anudando una relacion entrañable y peculiar que marcara a la postre el destino de ambos.

Fantasia ukituz zipriztinduriko kontakizun errealista honetan, errealitateko eguneroko mundua eta hada maitagarriena nahastu egiten dira, maitasun istorio baten ondorioz. Nahiz eta, zenbait irakurleren iritziz, sarritan errealitatea eta fantasia nahastearen ondorioz egoera batzuk ez izan oso sinesgarri eta ondorioz, ezta zirraragarri ere. Pertsonaien egituraketak hainbat gorabehera aurkezten dituela ere esan daiteke, batzuk ondo eraturik dauden arren, beste batzuk hankamotz gelditzen direlako

vingt-cinq ans, Jérémie Rex, boulanger à Arcachon, est entré dans un tableau de Magritte. Là, il a retrouvé pendant quatre minutes trente la femme de sa vie, au temps où elle l’aimait encore. Halluci

L ’un, Simon, vendeur de jouets dans un grand magasin, est désespéré de ne pouvoir donner d’enfant à sa femme. L’autre, François, homme d’affaires impitoyable au pouvoir immense, a toujours refusé d’